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“Légende d’un carnet envoûté par les sirènes”
Voici l’histoire du capitaine Georges Lecoq, un marin valeureux et passionné, qui commandait un navire marchand chargé de précieuses marchandises, de douces pâtisseries et de trésors colorés. À travers ce carnet unique, son épopée prend vie, racontée par chaque page cousue main, chaque tissu soigneusement sélectionné, chaque détail minutieusement ajouté.
Le chant des sirènes
Alors que Georges naviguait en haute mer, le chant des sirènes, doux et hypnotique, le détourna de son cap. Envoûté par ces mélodies mystiques, il se laissa emporter, son regard se perdant dans les vagues tandis que la tempête approchait. Ce carnet est le témoin de cet instant suspendu, ce moment où la mer et les sirènes prirent le contrôle de son destin.
Les pages, les trésors cachés du capitaine
Chaque page du carnet dévoile un élément de cette histoire envoûtante. La clé d’argent qui se cache entre les tissus symbolise l’accès aux cales de son navire, là où étaient précieusement stockées les gourmandises qu’il transportait. Les timbres anciens rappellent les étiquettes ornant les boîtes de cargaison, marquées du sceau du voyage.
Les symboles de protection et de mémoire
Comme tout marin, le capitaine Georges Lecoq plaçait sa foi en la mer, mais aussi en la bienveillance divine. Une image de la Vierge à l’enfant orne l’une des pages, symbole de protection et d’espoir. À côté, un ruban bleu, blanc, rouge, probablement anciennement destiné à des décorations, se trouve sur la couverture, une marque de son attachement à sa patrie.
Des éléments de prestige
Dans ses appartements cossus, le capitaine avait un fauteuil, symbole de l’élégance de son navire. Ce fauteuil est représenté dans le carnet, rappel de son statut et de son goût pour le raffinement. Les broderies vintage de Sari et les passementeries précieuses qui ornent les pages témoignent du soin et de la beauté de cette pièce unique.
L’appel de la tempête
Mais les sirènes ne l’avaient pas prévenu du danger. Le carnet renferme une petite cloche, qui résonne dès que l’on tourne les pages, comme l’écho d’un appel pressant : « À vos postes ! Le navire prend l’eau ! ». Un tissu rayé crème et rouge, légèrement déchiré, évoque la voile battue par les vents furieux. C’est le symbole de la tempête qui ravagea le bateau, laissant derrière elle des bribes de ce voyage.
La trace d’un amour perdu
Le carnet se termine sur une note douce-amère. Une fleur délicate représente la femme du capitaine, qui, depuis la côte, attendait son retour. À sa manière, elle dit adieu à son mari perdu en mer, lançant une couronne à la dérive. Un timbre avec son visage, une fleur de modiste et, à la fin, un chapeau noir symbolisent son deuil. Elle reste la « veuve noire » de cet homme emporté par le chant des sirènes.
Une pièce unique, un art de la fragilité
Ce carnet est une œuvre exceptionnelle, chaque point naïf raconte l’émotion brute et la fragilité de cette histoire. Les tissus sont tous vintage, avec notamment un tissu de courte pointe fait main par des sœurs de l’Aveyron et un tissu Napoléon III à l’intérieur. Un morceau de wax, des broderies, une boutonnière d’un paletot vintage et même un petit poisson bleu, une ancienne broche en plastique, ajoutent des touches de couleur et de fantaisie. Une médaille ramenée de Pologne il y a 20 ans, et d’autres trésors de passementerie viennent enrichir l’histoire de cette pièce.
À chaque page tournée, ce carnet transporte dans une légende où la mer, les chants mystiques, et l’amour éternel se mêlent. Une création d’art textile unique, conçue avec passion, pour les âmes curieuses et sensibles, prêtes à plonger dans l’histoire ensorcelante du capitaine Georges Lecoq.
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195,00€Prix
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